Post du 11 septembre 2025

Post FB 11/09/2025

L’agriculture est un rempart contre le feu
Après les incendies du mois d’août dans l’Aude, les scientifiques de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement basé à Avignon l’affirme : « L’agriculture est un
rempart contre le feu, car elle maintient des végétaux à forte teneur en eau, confirme Éric Rigolot. Cela signifie que les pouvoirs publics doivent coopérer pour maintenir une agriculture ou, le cas échéant, défricher mécaniquement, par du brûlage dirigé ou du pastoralisme. » (La Provence du dimanche 7 septembre 2025)
Les scientifiques travaillent sur une cartographie d’aléas de plus
en plus précise, permettant de définir les zones les plus à risques, notamment en lisière de communes où l’habitat est de plus en plus vulnérable, comme l’a montré l’incendie des Pennes-Mirabeau, touchant 90 maisons aux portes de Marseille en juillet. Depuis, le maire de cette commune se bat pour renforcer les obligations légales de débroussaillement et améliorer l’accès des secours.
Adieu veaux, vaches, cochons… Bouc bel Air a perdu ses champs, ses paysans et ses terres agricoles. Le retour de l’agriculture doit nous permettre de nous protéger des incendies, de préserver nos paysages contre le béton, de privilégier les circuits courts et de permettre à nos enfants de manger mieux à la cantine.
Vivre mieux, c’est manger mieux

Post du 9 septembre 2025

Post FB 09/09/2025

Face à la crise économique et sociale et à l’instabilité politique et institutionnelle réaffirmée par l’échec du vote de confiance lundi à l’Assemblée, la défiance croissante des Français à l’égard des élus et la fragilité de notre démocratie, la commune et le maire – élu préféré des Français – demeurent un refuge.

Pourtant, depuis une dizaine d’années, les réformes de la fiscalité locale réduisent l’autonomie des communes. « Les collectivités locales peinent à exercer leurs missions et leurs responsabilités », regrette un rapport remis au Sénat le 8 juillet dernier qui pointe « des recettes aléatoires pour financer des dépenses obligatoires ». Le coût pour l’Etat s’élève, selon les sénateurs, à 38,5 milliards d’euros. Pourtant, « les investissements publics sont majoritairement portés par les collectivités territoriales, à hauteur de 64 % (hors dépenses militaires) », soulignent les sénateurs. Quant à l’impact du réchauffement climatique, comme l’adaptation du bâti scolaire aux canicules, le surcoût est estimé à 215% en 2050.

La restauration d’une démocratie vivante passe donc par une meilleure considération de l’échelon local. Notre projet plaide pour une vision de long terme, pour une ville plus juste et bienveillante et une proximité du quotidien. « Vivre mieux » à Bouc-Bel Air, aujourd’hui et demain c’est « manger mieux », « bouger mieux », « habiter et respirer mieux », « apprendre et échanger mieux » et… « participer mieux ». Donnons la parole aux habitants.

Post du 8 septembre 2025

Post FB 8/09/2025

Rendons ses couleurs à Bouc-Bel Air

Le maire sortant avait retourné les panneaux d’entrée de ville en soutien aux agriculteurs. Mais il n’y a plus d’agriculteurs à Bouc-Bel Air. Son premier adjoint qui vient de lui succéder a remis Bouc-Bel Air à l’endroit. Merci.

Mais le nom de notre ville s’efface. L’usure du temps. Le poids des habitudes. Un avenir aveugle. Un futur en noir et blanc. L’appel du changement…

Pour vivre mieux, refusons le poids des habitudes, retrouvons nos couleurs, faisons le choix de l’audace et des idées nouvelles.

Post du 3 septembre 2025

Post FB 3/09/2025

« Vivre mieux, c’est inventer une autre ville dans un autre monde. » Une ville post-crise (sanitaire, climatique, économique) qui devient un espace de désir :

• Où l’on élève ses enfants

• Où l’on travaille avec sens

• Où l’on vieillit avec dignité

• Où l’on tourne le dos à la France moche et à Plan de Campagne

Vivre mieux c’est donner de la force aux idées et de l’audace à nos propositions. Tout au long de la campagne nous vous présenterons nos priorités pour transformer notre ville, révéler ses charmes et dévoiler son potentiel aujourd’hui négligé et méprisé.

Parce que nos paysages méritent de la bienveillance, parce que les cultures nous protègent des incendies, parce que nos producteurs garantissent une alimentation saine à nos enfants, parce que nous voulons garder notre autonomie alimentaire, le retour de l’agriculture et des agriculteurs à Bouc-Bel Air est l’une de nos priorités. Préservons les terres agricoles et donnons un second souffle à la vocation agricole de Bouc-Bel Air !