« Habiter et respirer mieux, c’est dire non à l’anarchie urbaine.
C’est arbitrer entre développement local et sobriété foncière. À Bouc-Bel-Air, on veut construire autrement.
Toutes les crises convergent vers l’épuisement du modèle actuel, et invitent à une refonte dans la manière de penser l’espace, sa consommation et sa
préservation.
Préférer la rénovation à la démolition-reconstruction, plus émettrice de
gaz à effet de serre, et intensifier les usages.
Fermée pendant les vacances solaires, une école ne pourrait-elle pas servir à accueillir des activités temporaires ?
Cela passe aussi par l’encouragement à l’accession à la propriété pour tous, grâce au bail réel solidaire, à accueillir mieux en reliant les quartiers et en favorisant la mixité de l’habitat et des usages. Des logements pensés pour les familles, les jeunes, les anciens.
Des quartiers vivants, harmonieux, durables.
Préserver l’identité du village, autour du château, valoriser le patrimoine, maîtriser l’urbanisme. Habiter mieux, c’est choisir une ville à taille humaine, où il fait bon vivre, aujourd’hui et demain. »