Manger mieux

« Manger mieux, c’est retrouver le goût du local.

Adieu veaux, vaches, cochons…
Bouc bel Air a perdu ses champs, ses paysans et ses terres agricoles.

Selon l’Insee, la commune de Bouc-Bel-Air ne comptait plus dans sa population que 3 exploitants agricoles en 2021. Ils ont aujourd’hui disparu alors que la ville compte encore 143 parcelles dédiées à l’agriculture. En 1907, elle accueillait des vignes à flanc de colline et des troupeaux de chèvres et de moutons qui broutaient autour du village.

En cohérence avec la Plan alimentaire territorial de la Métropole, on veut faire revenir les agriculteurs et l’agriculture à Bouc-Bel Air, favoriser les circuits courts, garantir la sécurité alimentaire (implantation d’une épicerie coopérative, d’un marché de producteurs, d’unités de transformation). La dépendance alimentaire peut constituer un obstacle à l’hygiène alimentaire. A l’inverse la souveraineté territoriale en la matière constitue un enjeu de santé publique en raison de son impact sur l’empreinte carbone et sur les habitudes alimentaires par le biais d’une profonde modification de l’offre.

Des terres cultivées ici, pour nourrir les familles d’ici.

Du champ à l’assiette :
des produits locaux, sains, accessibles.

Des marchés vivants, des potagers partagés, des cantines qui éduquent au bien manger.

Cultiver mieux pour manger mieux, c’est prendre soin de soi, de la terre, et de ceux qui la font vivre. »